Sur les murs des villes étrangères
Se dessinent des destins éphémères
Chacun apporte son coin de terre
Sur les murs des villes étrangères
Ils s’en vont comme on part en guerre
Pour un salut qui n’est que misère
Sur les murs des villes étrangères
Se dessinent des destins éphémères
Retrouver les autres participations ici: un touchant clin d’oeil chez Marie – Affronter chez Mébul – Mieux vaut cajoler que jamais chez Euphrosyne – Aventure et création chez Josée – Garden Party chez Nina – Le temps chez Sweet Things – Rêverie chez Erby
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Je suis heureuse de découvrir toutes vos belles participations. Pour la semaine prochaine, on va partir d’un collage, réalisé d’après une idée proposée par Sophie du blog Du Merveilleux dans l’Ordinaire. L’atelier se passera en deux temps:
- Décrire en trois mots ce que ce collage vous évoque (sans utiliser les mots qui sont présents sur la photo)
- Écrire un texte (ressentis, fiction, écriture automatique, poésie…) à partir de ces mots (et de la photo si vous le souhaitez)
N’hésitez pas à revenir vers moi si vous avez besoin de précisions. Et au plaisir de vous lire!
L’espoir et la souffrance s’en mêlent… s’emmêlent…
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C’est tout à fait ça…Dans ces traversées, ce sont peut-être les deux forces qui tiraillent les hommes.
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Joli ce triolet! Pourrons-nous, un jour, voyager à nouveau en toute liberté? Retrouverons-nous autant d’expats sur nos terres? Seulement deux des multiples questions que ta poésie à fait ressurgir dans ma tête!
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Merci Josée. Les questions nous aident à avancer, à construire. Belle journée
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La légèreté du triolet, la gravité du thème. J’aime bien ce contraste Marie 🙂
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Merci Marie. Les mots se sont imposés à moi, comme ça.
Belle journée!
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