Tout se trouve dans cet instant. Tu vas partir. Je voudrai tout retenir. Le temps. Ta peau. Ta bouche. Tes mots.
Ce temps se compte en secondes. Points de suspension entre nos deux vies. Bientôt tu auras passé la porte. Tu ne seras plus là où tu étais. Juste comme ça.
Et je n’entendrais plus ta voix, je ne toucherais plus ta peau. Juste ton odeur dans les mouvements épars. Dans les recoins de mon coeur. Ton sourire imprimé quelque part. Je le croiserais par hasard.
Rien que de l’ordinaire. Des heures à être dans le tant de toi. Et des heures sans toi. Rien que je ne sache vivre.
Pourtant ce soir le manque de toi me saisis déjà. Tu n’as pas encore atteint l’autre rive que je te voudrai là – si près, tout près de moi.
Des mots qui font bien sentir le vide de l’absence, le manque de l’autre… Grosses bises Marie
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Il y a des chants comme celui là qui ne s’épuisent pas Paulette.
Grosses bises
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Merci énormément de me lire je ne sais pas ce qui s’est passé mais je ne vois plus votre Sí beau commentaire sur mon blog alors cest ici que je vous dit encore 1000 merci cela me donne confiance en mon blog 😘😘😘😘
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Avec plaisir!!
Bel été à vous
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Oh la la comme je te comprends ! Je ressens ce manque tellement ! Pas tout le temps mais déjà trop ! Bisous
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Heureusement pas tout le temps!
Mais oui Kathou…on se comprend.
Grosses bises
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Ce manque… ❤❤❤
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Merci ma jolie Cécile de si bien le/me comprendre. Grosses bises
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