Je fais courir mes doigts sur les promesses de sa peau. J’imprime sur l’écran de mes jours le dessin de ses contours, de mes nuits le dessein de ses envies.
Je fais courir mes doigts sur l’enchevêtrement des veines de l’écorce chaude. Son histoire personnelle demeure ce flou que je ne saurais toucher que du bout du cœur.
Je fais courir mes doigts sur l’intangible des sentiments, la pureté de l’instant, l’enthousiasme des retrouvailles, la richesse de ce bonheur que je garde comme un précieux enchantement.
Je fais courir mes doigts sur l’effleurement des impossibles, tenus à distance par la confiance constante, osée, libérée de la souffrance du manque.
Je fais courir mes doigts sur ce qui se dit, sur les silences qui comme l’or se gorgent d’essentiel.
Je fais courir mes doigts sur l’énergie de nos corps, composés, étreints, métamorphosés dans un accord que nous sommes seuls à créer.
Je fais courir mes doigts sur ce qu’il est, donne, transmets. Et mes doigts se souviennent. A quel point je l’aime.
Et tu fais aussi très bien courir tes doigts sur ton clavier pour nous conter de jolies pages sensuelles et tendres
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Merci Marie.
Les doigts se prêtent à de nombreuses expériences délicieuses!
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Miam…
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Pour lui ou pour moi?
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Joliment dit….bisous
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Merci Maud!
Belle journée à toi
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Magnifique ! Dommage que ça se soit arrêté, j’aurais bien continué à lire 🙂 Bises
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Merci beaucoup! Je pense qu’il y aurait matière à écrire davantage…
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Beau langage que celui qui raconte le toucher de l’amour…
Et oui, on en redemande 🙂
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Je crois que c’est un des plus beaux, quelque soit l’amour dont on parle Laurence.
Mille merci
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Vive l’amour 😉 ❤
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Toujours Carrie!
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C’est beau ❤
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Merci Cécile.
Toujours fidèle à mes mots.
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