Regarde-moi droit dans les yeux
Mon cœur se meurt sans un aveu
Je tremble de tous mes membres
Mes pieds ancrés en ta dangereuse réalité
Mes amours se noient
Mes passions prennent froid
Quand tes armes font la loi
Regarde-moi tomber
Effleurer le vide
Me fondre dans l’abime
Ta trahison comme un feu
Consume mes souvenirs heureux
Je me sens mourir
Sans plaisir
Dans un battement de cils
Regarde-moi m’éteindre lentement
A la faveur de ta démence
Dernier témoin tragique
De ton parcours de fanatique
Extrait de mon recueil de poésie Ils avaient un prénom (disponible en Papier et PDF sur The Book Edition) – Tous les bénéfices sont reversés à l’association IMAD pour la Jeunesse et la Paix.
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Ça fout les boules Marie….Grrr !!!
Tous ces innocents fauchés par ….Je te laisse mettre un mot la-dessus !
Bisous ma petite Marie.
Bonjour d’Anjou
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Ce recueil, je l’aime beaucoup, et je l’ai lu plusieurs fois
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J’ai ce recueil et depuis que tu as écrit ce poème la liste des victimes ne cesse de s’allonger hélas ! Grosses bises
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Tes mots sont toujours justes et beaux Marie mais les Marie ne sont-elles pas toutes un peu poètes….
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